Tu feras un gros dodo avec ça
Je ne te demande pas si tu aimes sentir mes pieds mais tu seras obligé. Tu vas adorer mon odeur.
Me in shiny trackies and jacket tied up with sweaty trainers and socks worn by niketrackies
Je remets mes couilles en place. Mais vous pouvez toujours continuer à parler.
Un bon gros coup de pied dans les parties ça fait du bien !!
Spike wasn’t quick enough with instructions before master got home.. :( got punished 😖 ) will post details if get enough likes and reblogs and follows
Je m'appelle Thomas. J'étais alors un jeune minet de 20 ans, plutôt beau gosse, petit, mince, cheveux bruns mi-longs et yeux bleus. Quoiqu’encore puceau, je me considérais comme hétéro, mais j'étais très timide. Un jour, alors que je revenais de la fac, ma vie a basculé et je suis devenu ce que je suis aujourd'hui, une chienne aux ordres des rebeus.
En revenant de la fac, un groupe de rebeus m'a surpris. Il était tard, et j'étais seul. L'un d'eux m'a demandé une clope, comme je ne fumais pas, j'ai refusé. Ils ont cru que je mentais, et m'ont forcé à les suivre dans la caves d'un HLM qui était à proximité. Là, ils m'ont fouillé, fait mettre à poil pour me prendre tout ce que j'avais. Pas d'argent, pas de clopes, un vieux portable, un bien maigre butin. Cela ne fit que les exciter davantage contre moi. L'un d'eux, Sofiane, le leader du groupe, a alors déclaré :
— Puisque tu n'as rien à nous donner, tu vas nous sucer, on n'a pas baisé depuis plus d'une semaine, alors tu vas nous vider les couilles! Allez suce, salope!
Et il sortit sa queue et me fit mettre à genoux. Il me fila une baffe pour me forcer à ouvrir la bouche, et commença à me défoncer la mâchoire. Sa queue était assez grosse, dans les vingt centimètres. Les autres se branlaient devant se spectacle. Puis Sofiane a dit :
— Putain elle suce bien cette pute, j'en peux plus je vais l'enculer. À quatre pattes salopes, et suce mes potes.
Il n'avait pas fini de parler que deux rebeus me mirent de force à quatre pattes et le troisième me mettait sa bite dans la bouche. Sofiane s'est positionné derrière moi.
— Je vais t'enculer à sec, salope, on utilise pas de gel pour les putes dans ton genre. T'as pas intérêt à bouger sinon j'irai encore plus fort.
Il m'enfonça sa bite dans mon cul, je poussai un cri de douleur, mais il y allait encore plus fort. Finalement, mon corps s'est peu à peu habitué et je couinai entre deux fellations faites à ses potes.
— Chienne, sale pute, tu kiffes ma bite hein? Allez gueule salope, montre que t'aimes la bite de rebeu!
Effectivement, je commençais à aimer, même si j'étais en pleurs. Il me défonçait et m'assénait de puissants va-et-vient.
— Tu pourras plus t'asseoir tellement je te défonce. Tu vas en redemander, tu vas être ma pute perso, mon bâtard, mon vide-couilles.
Il m'enculait puissamment, donnait des claques sur mon cul et me tenait fermement les hanches. Puis je l'ai senti se mettre sur moi, et m'a limé encore plus furieusement, comme une bête. Il hurla en giclant dans mon cul. Pendant ce temps je suçais les autres rebeus et les trois avaient éjaculé dans ma bouche, me forçant les trois fois à tout avaler. Sofiane se rhabilla et les trois autres rebeus sortirent. Lorsque nous fûmes seuls, il me dit :
— Maintenant, tu m'appartiens, tu es ma pute et ma femelle. J'ai ta carte bleue, tu vas me filer ton code et dès ce soir je vide ton compte. Comme ça tu seras forcé de vivre avec moi. Tu seras ma femelle, tu vivras chez moi, fera les tâches ménagères et tu me fileras tes trous à moi et à mes potes quand j'en aurai besoin. Dorénavant, tu réponds au nom de salope, compris? Et tu ne parles plus sans que je t'y ai autorisé.
Il m'a fait monter chez lui, à poil, et une fois arrivé, il m'a attaché les mains par devant, a fermé à clé et m'a dit :
— Allez, fais le ménage.
Je me suis exécuté, et le soir, il s'est encore vidé dans ma bouche. J'ai dû dormir par terre et lui est allez dormir dans sa chambre.
Les jours se sont succédés. Je vivais chez Sofiane, enfermé et ne sortais plus. Constamment à poil, je faisais le ménage, puis quand il revenait, je devais être à quatre pattes, prêt à être enculé. Et il me sautait presque chaque soir en m'insultant, me traitant de pédale, de salope, de vide-couilles. Curieusement, je commençais à apprécier cette situation. J'étais constamment humilié et baisé, mais il y avait quelque chose de rassurant dans l'ombre de ce rebeu qui assurait ma subsistance. Sofiane n'était pas pédé, comme il disait. Il m'utilisait comme un trou, c'est tout. Et d'ailleurs, il revenait souvent avec des meufs. Des blanches, toujours, belles et minces. Il les enculait devant moi, pour me montrer qu'il était un vrai mâle, puis les mettait à la porte. Elles ne disaient rien, intimidées par son allure de racaille.
Bientôt, Sofiane songea à tirer profit de ma situation. J'étais plutôt beau gosse avec un petit cul rebondi. Il me fit faire la pute dans une cave pour les mecs du quartier qui n'avaient pas autant de succès que lui avec les meufs. Je devenais un vide-couilles, les mecs de toute la cité et des cités voisines se soulageaient dans mon cul qu'ils limaient avec violence. Sofiane récupérait l'argent. J'étais une fois par semaine mis à l'abattage, 20 queues m'enculaient dans la nuit. Des blacks, des beurs, des blancs, des jeunes et moins jeunes. Le reste de la semaine, mon cul appartenait à Sofiane qui m'enculait à chaque fois qu'il n'avait pas ramené de meuf, et il avait besoin de se vider tous les soirs. De mon côté, je devenais dépendant de sa queue, comme conditionné. Je n'étais pas sûr d'être gay, mais être enculé tous les soirs me rassurait, comme si finalement cela donnait un sens à ma vie. Sofiane s'en est vite aperçu et m'a obligé à le supplier chaque soir. Lorsqu'il rentrait, je me mettais à quatre pattes, cul tendu et lui disais :
— Maître, je vous en supplie, enculez moi, je suis une pute, une femelle à votre service, faites de moi votre bâtard.
Et il m'enculait, toujours en m'insultant de pédale, de pute à jus, de femelle...
Plus tard, Sofiane décida qu'il devait contrôler ma vie sexuelle. Il savait que je n'avais jamais pénétré. Il me fit mettre une cage de chasteté, car ma bite de pédé ne servait à rien. Puis je devais porter un gode quand il n'était pas là. Mon cul devait devenir une chatte.
Il est tellement sexy quand il est attaché.
On rigole pas chez Bondage Prison !
pompier se touchant les fesses // fireman touching his ass