Hey, everyone! This is the creator of Little Girls Are Better At Designing Superheroes Than You, here with a post I thought you all might like. Writer Ted Anderson and I have made a pitch for a superhero comic!
The comic is about nine-year-old Lucia Marquez-Miller, who loves engineering, and uses her telekinetic powers to build and take things apart with her mind. She calls this power her spark!
As Spark, the world’s youngest superhero, she’s a junior member of a superhero team while also trying to live a normal life. Can Lucia juggle her friends and family while also saving the world from supervillains?
We’re posting a 15-page standalone comic here on tumblr to give readers an idea of what the book would be like.
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More work done for Paizos Pathfinder
Ridiculously honored to have been able to do today’s doodle for Sally Ride’s 64th birthday. First female US astronaut, first LGBT astronaut, youngest astronaut to date, physicist, professor, author, and champion of interesting STEM programs for kids, especially girls.
You can read more about her here, including a guest blog post from her partner Tam O’Shaughnessy. You can also find a video animated by the amazing Nate Swinehart, and narrated by myself and Tam, detailing some of the process work that went into everything.
Je n’aime pas trop parler de moi, surtout pour me plaindre.
À ceux qui savent qui se cache derrière mon pseudo, merci de garder ce qui suit pour vous.
Aujourd’hui comme tous les jours depuis un an et demi, je vais travailler pour une grande entreprise, ou je vais occuper un poste considéré par beaucoup comme valorisant et enrichissant.
Et pourtant, je n’arrive pas à me réjouir de cette position si enviable.
Pire, Lundi prochain, je prendrai un nouveau poste. Bien payé, en CDI, qui offre de belles opportunités de carrières.
J’ai toujours été quelqu’un avec des « capacités ». Apprentissage facile, toujours dans le « peloton de tête » sans forcer. Curieux, timide, un peu glandeur, car surtout rêveur. « Il est un peu dans la Lune », « Encore dans ses bouquins », « Il préfère rester dedans que d’aller voir ses copains » les litanies entendues par les geeks en puissance pendant leur enfance.
« Et tu veux faire quoi quand tu seras plus grand »
Je sais pas. Enfin, si, je sais, mais vous, vous n’avez pas à le savoir. Et puis quand je l’ai dit, j’ai essuyé les regards moqueurs.
Professeur. Professeur de Physique-Chimie. Une noble profession pourtant.
« Mais bon, tu comprends, ce n’est pas sûr que tu aies le concours ». C’est vrai, je suis plutôt flemmard, je n’ai pas la sacro-sainte « méthode » pour réviser pendant 10 heures efficacement. Je déteste « gober » des connaissances. Alors autant jouer « safe ».
Une fois mon Bac S en poche, avec une médiocre mention Assez Bien accolée dessus (saloperies de maths), le choix se pose.
Fac ? Pas assez mature, ne tiendra pas le rythme, trop perché, manque d’indépendance. Prépa ? Mes résultats en dents de scies ne m’ouvrent les portes que de quelques écoles locales, plutôt médiocres. DUT. Ha ! Des cours sympas, plein de science, avec beaucoup de pratique. Impeccable !
Je suis admis, et encore une fois, flotte aisément dans le tiers supérieur de la promo, sans trop forcer. C’est cool, l’année prochaine, je vais en licence et je passe le concours dans la foulée.
Nous sommes en 2009. Réforme de l’éducation. Les modalités d’accession au concours du CAPES sont modifiées.
Il faut un BAC +5.
Putain, Sarko, celle-là, je ne l’ai toujours pas digérée.
Encore une fois, le temps des options :
Fac ? Mes résultats me le permettent, mais la fac de Montpellier est un bordel monstre (source : ma copine de l’époque), pour une année, ça aurait fait l’affaire, pour trois, hors de question. École d’ingé ? Hmmm, ça va être dur de rentrer, je ne pensais pas avoir besoin de gros résultats, du coup, je risque de me planter. École d’ingé en Alternance ? En théorie, le paradis. Payé (une misère, certes, mais bon), formation pratique, avec des bons cours (de l’école des Mines, ce n’est pas rien bordel) et possibilité de passer le concours à la sortie, tranquillement. En plus je trouve une alternance dans une boite de métallurgie, en centre de recherche. Cool, de la science un peu théorique, des labos, de la chimie.
Dans la pratique, ça a sans doute été les pires années de ma vie au niveau professionnel. A l’école : des cours généraux chiants (RH, je crie ton nom) voire carrément gerbants (finance, marketing, je vous hais), et un formatage flippant. Le peu de « science » sont des trucs très basiques, torchés facilement. Les autres élèves sont inintéressants au possible et intéressés par le côté « management » de la formation (WTF). Ma motivation chute, mes notes stagnent mollement dans le milieu de promo.
En entreprise, ce n’est pas mieux : management a la ramasse, tuteur brillant mais surchargé, projets chiants et sans rapport avec la métallurgie ou la chimie, pas de connaissances des process. Bref, je nage en plein brouillard, sans guide ni envie d’avancer.
A cela s’ajoute l’éloignement, mon alternance me coinçant entre Grenoble et Saint-Etienne (une belle ville de merde), loin de Narbonne et Montpellier. C’était sans doute ça le plus dur : la solitude dans une région inconnue, loin de tout, de tout le monde.
Et toujours, cette impression d’avoir fait le mauvais choix, de ne pas être à la bonne place.
Coucou la déprime, coucou les pensées suicidaires.
Ca s’arrange un peu pendant les deux dernières années. Je rencontre des gens qui deviendront des amis très chers, et je pratique beaucoup le jeu de rôle, en tant que MJ puis joueur.
C’est la fin, mais ma motivation est au plus bas. Tout le monde se congratule de ma réussite, de mon diplôme, de ce statut d’ingénieur (unique dans la famille). Vous voyez, l’ascenseur social de l’éducation, ça marche ! Et il a trouvé un V.I.E en Angleterre ! Ah ça oui, on peut parler d’itinéraire idéal. Et dire qu’il voulait faire prof, haha, ça lui a passé !
Ouais, ça m’a passé. Ça ne m’enchante plus comme avant. Alors, je fais quoi maintenant ?
Je suis ingénieur, bilingue, cadre dans une grande entreprise, et je ne peux pas dire que j’aime ça. Je suis un imposteur, et je n’ai rien à faire ici. J’y suis par réflexes soci(ét)al plus que par ma propre volonté.
Le pire, c’est que je ne sais même pas ce que j’aurai pu changer dans mon parcours. Tout ça paraissait logique, évident. Cette force invisible qui vous pousse toujours plus haut. Ces parents, ces profs, ces conseillers d’orientation (je vous chie dessus, incompétents que vous êtes).
A l’époque, je n’avais pas la force de résister à cette force invisible.
Je ne suis toujours pas sur de l’avoir.
Et putain, je me hais pour ça.
Depuis tout ce temps, je n’ai pas cessé d’être curieux, de rêver, de penser. J’aimerai scénariser des jeux ou des films. J’ai des dizaines d’idées, des mondes qui bouillonnent là-dedans. Des intrigues, des mythologies, des drames et des tragédies.
Alors, je fais quoi maintenant ?
It’s a social construct
Bloody hell this is just great *_*
Some dwarves beauties for your day <3
Barís - @the-dragongirl Mizim - @flukeoffate Gimris - @aviva0017 Photos - @houkakyou Characters by @determamfidd
I love this so much! Less 20-something heroes, more veterans badasses.
Dame Julia Beatrix Tyburn, Templar.
“Age doesn’t matter when the cause is timeless.”
Animalistic Robots, by the very creative Robert Chew.
Chosen_Undead by Selann
That’s Faery glen, in Scotland!
Yet another geeky guy on the internet of Things. Plot-twist: is actually a feminist, expect some reblogs.
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